Aller à la page d'accueilAller à la page des lecteurs de MeudonAller à la page LivranticAller à la page LivrunicAller à la page de Lalibrairie.comAller sur le Forum

LES PRIX LITTERAIRES 2001

jean-christophe rufin
Donnez votre avis...

JEAN-CHRISTOPHE RUFIN - ROUGE BRESIL

GONCOURT 2001

Grâce à ce roman, nous découvrons une page souvent ignorée de notre histoire :
la tentative française, au milieu du XVIème siècle, de fonder une colonie au Brésil.
Ce récit associe les qualités d'une aventure romanesque et un réel intérêt historique.
Si certains passages concernant les relations avec les populations indiennes
locales semblent parfois exagérées, la transposition  au-delà des océans des
conflits religieux entre catholiques et calvinistes
et l'étude de caractère des principaux acteurs de cette aventure rendent la
lecture à la fois distrayante et enrichissante

A.-S. S. 10 /11/01

 martine le coz
Donnez votre avis...

MARTINE LE COZ - CELESTE

RENAUDOT 2001

Ce roman est présenté comme une histoire d'amour, entre une jeune
fille et un médecin d'origine haïtienne.
Mais est-ce l'atmosphère lourde de Paris en cette année 1832, alors que
sévit une terrible épidémie de choléra, qui rend cette histoire d'amour si terne ?
Ou le style de Martine Le Coz qui manque de spontanéité ?
Reconnaissons quand même l'intérêt historique du roman dans lequel apparaissent des personnages illustres du XIXème siècle, comme A. Dumas.

 A.-S. S. 18/11/01

isabelle hausser
Donnez votre avis...

ISABELLE HAUSSER - LA TABLE DES ENFANTS

GIONO 2001

Isabelle Hausser mène minutieusement l'enquête « testamentaire » pour
une mère blessée par le décès brutal de sa fille aînée ; elle élucide tous les
indices dans les sphères de l'amour et de la complicité excessive peut-être
qui liaient ces deux femmes.
On quitterait parfois ce livre dans le ralentissement de l'intrigue : mais l'auteur
nous y retient inexorablement par l'écriture juste, profonde et poétique des
sentiments maternels, des atmosphères et des banalités tendres de la vie familiale.
Seules les dernières pages livrent une chute trop banale.

F. J.-B.


Page précédente